Articles divers trouvés sur le net...

* 09 juillet 2008
Thierry Dell remporte le concours "Carrefour des Talents"

La première édition du concours « Carrefour des Talents » proposé par Carrefour avait récompensé l’an dernier le groupe Interphone. Devenu Suarez quelques mois plus tard, le groupe de Marc Pinilla et des frères Niava a depuis envahi les ondes radio et prépare la sortie de son premier album pour la rentrée prochaine.

Pour cette deuxième année, le choix du jury s’est porté sur Thierry DELL, un auteur-compositeur-interprète bruxellois, demi-finaliste de la Biennale de la Chanson française et de Musique à la Française en 2006.

Après un premier album auto-produit intitulé « Simplement », Thierry DELL nous propose aujourd’hui de nouveaux titres, fruits de sa collaboration avec Didier Dessers (qui avait été le bras droit artistique de Pierre Rapsat sur ses deux derniers albums), qui oscillent entre balades acoustiques et chansons pop-rock.
Ce prix va lui permettre de sortir son nouvel album dans d’excellentes conditions, grâce à une aide financière et logistique du groupe Carrefour qui assure une première vague de distribution dans tous ses magasins.

On pourra également découvrir Thierry Dell au programme de la scène « Carrefour des Talents » des Francofolies de Spa, le samedi 19 juillet à 18H.
(source)

lien vers ARTICLE COMPLET (source)

Nous espérons que Thierry DELL remportera le même succès que notre gagnant de l'an dernier, 'Interphone' (devenu depuis 'Suarez'), qui a su séduire les émetteurs radio et est de nouveau présent cette année sur la scène des Francofolies de Spa. Marc Pinilla et les frères Niava sont en pleine préparation de leur nouvel album annoncé pour bientôt. Le ‘Carrefour des Talents’ a été pour eux le petit coup de pouce dont ils avaient besoin.

Ces Belges qui montent
Découvertes aux Francos de Spa

25/07/2008 - Spa -
Quoi de mieux qu’un festival belge pour dénicher les talents du Plat pays ? RFI Musique a tendu l’oreille aux dernières Francofolies de Spa (17 au 21 juillet dernier) pour repérer quels artistes font vibrer la scène belge d’aujourd’hui. Si quelques noms comme celui du rappeur James Deano ou des groupes de rock comme Girls in Hawaï et Hooverphonics sont déjà connus, d’autres restent à découvrir. Tour de piste.


De la chanson, du folk, du rap, du rock, du jazz, de la pop, de l’expérimental-électro-classique… Cette quinzième édition des Francos de Spa l’a montré, la musique made in Belgium en a des éclats différents !Première découverte : Guillaume Ledent, 33 ans, jeune papa et plume décalée qui s’inspire autant du héros de série télé américaine Mac Gyver que de son quotidien pour écrire ses chansons. Sa pop douce, teintée d’influences world, est bien rafraîchissante en ce début de festival ! Le lendemain, rencontre avec Suarez, un quatuor composé des trois frères du groupe malgache N’Java (Prix RFI Découvertes en 1992) et du Belge Marc Pinilla. Lui chante et gratte la guitare un peu à la façon Raphaël (même gueule d’ange et regard doux). Eux délivrent cordes et batterie sur des rythmes tantôt pop, funk ou plus traditionnels de leur île natale. Le mélange prend bien. Leur premier album n’est même pas encore sorti que le simple, On attend, est déjà entonné par une bonne partie du public. La promo radio a fait son œuvre…
Cap ensuite sur la grande salle du Casino de Spa, pour le concert de l’Orchestre du mouvement perpétuel. Une formation bruxelloise vraiment inclassable, qui trempe dans Bartok, Ravel, Brel, le jazz, l’électro, la chanson... Le doigté hallucinant du pianiste Alejandro Petrasso et la voix forte de Peter Butlink communiquent de façon surprenante. S’entremêlant sur des boucles de basse ou des sons urbains avec une harmonie scotchante. Une expérience en soi ! Retour sur terre le lendemain avec Anaïs H, que l’on finit par aller voir à force d’avoir entendu les médias locaux louer ses qualités. Cette chanteuse à la lisière de la pop et de la variété est originaire de la région de Spa et vient de sortit son premier album. Un beau filet de voix alto et, sur scène, une belle énergie et une réelle adresse au violon et à la guitare.

Autre piste de spectacle, autre registre avec Sacha Toorop. Zop hop hop, c’est lui. Il a mis ce projet en anglais "dans un petit tiroir à faire dodo" et se lance aujourd’hui en français. Adroit musicien (batteur, guitariste), chanteur, il a collaboré en France avec Dominique A, Françoiz Breut ou encore Yann Tiersen. On découvre ici ses créations à lui, poétiques en diable. L’amour est mort, Mille après mille, Soin de soi… Des perles folk de sensibilité qu’il exprime avec une troublante vérité dans la voix. Vivement que son disque Au clair de la terre dépasse les frontières de la Belgique !

Troisième jour : il continue de pleuvoir sur Spa, de grosses gouttes comme de belles notes. Les Tellers sont aujourd’hui les vedettes. Ben et Charles, deux bambins de 22 et 23 ans, donnent leur première conférence de presse, pas leur premier concert. Ils se sont rencontrés par le Net, ont arrêté les études et cuisinent ensemble un folk pas révolutionnaire mais spontané et énergisant. Bang ! (qui les a découverts et distribue leur album en Belgique) mise beaucoup sur eux. Sûrement à raison vu les troupeaux de jeunes qui s’étaient déplacés pour voir Ben souffler dans son harmonica façon Bob Dylan et Charles chanter en anglais avec sa voix claire. Le tout sur fond de guitares sautillantes.

Ultime découverte le dernier jour : Claudine Muno. Elle n’est pas Belge mais Luxembourgeoise. Son album est produit en Belgique, alors on triche un peu… et cela vaut le coup. Pour l’amour du folk, pour l’humour grinçant de ses textes (très loin de la petite fille sage qu’elle paraît être), pour sa voix splendide et les arrangements inventifs de son guitariste. Avec tout ça, pas de quoi être déçu de ce voyage en Wallonie !

Fleur De la Haye

Guillaume Ledent Ton Océan (Chanson de pluie) 2007
Suarez On attend (Bang !), à paraître en Belgique à la rentrée 2008
Orchestre du mouvement perpétuel The all and Nothing Show (Parsifal) 2008
Anaïs H La case départ (LGSR) 2007
Sacha Toorop Au clair de la terre (Bang !) 2007
The Tellers Hands Full ok Ink (Bang!) 2007
Claudine Muno & The Luna Boots Petites chansons méchantes (Green l.f.ant Records) 2007

(source)

Petite chronique sur Suarez trouvée >>ICI<<

http://www.francofolies.be/

24 janvier 2009
Suarez à la conquête de la France

Comme nous vous l’annonçons ci-dessous, vous pouvez découvrir Suarez sur la RTBF dans l’émission D6bels qui diffuse leur concert de juillet dernier à Spa. Mais les Montois ne s’arrêtent pas en si bon chemin !

Avant la sortie de leur album prévue en France le 30 mars, ils sont déjà programmés dans deux grandes émissions de télévision françaises : le 31 janvier dans « La Fête à la chanson française » sur France 2 et le 26 mars dans…Taratata !


Les radios françaises ne sont pas non plus en reste : « On attend » est entré en playlist sur NRJ, Virgin Radio, Europe 1, France Inter, Le Mouv’ ou encore Oui FM, et le groupe sera l’invité de plusieurs émissions prestigieuses (Fou du roi, Cauet….) au cours des prochaines semaines.


Pas mal pour le premier lauréat du Carrefour des Découvertes (Collaboration Francofolies/Carrefour) de 2007 !

www.suarezlegroupe.be


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05 février 2009
FrancoSessions - Résidence 2009

Les FrancoSessions accueillent à Spa SUAREZ et Thierry DELL, du lundi 9 au jeudi 12 février 2009 et du lundi 25 au mercredi 27 mai 2009.

Plus besoin de vous présenter SUAREZ ! Quant à Thierry DELL, il est le lauréat du Concours "Carrefour des Talents" 2008 (photo).

Entourés par l'équipe du Chantier des Francos de la Rochelle, ils auront l'occasion de peaufiner le set qu'ils présenteront lors de leur prochaine tournée.

PHOTOS et NEWS de leur travail seront en ligne pendant les résidences.

diaporama News publiée Le 17 Février 2009 à 19:52 0 commentaires4 photos1 vidéos

VIDEO : Découvrez notre coup de coeur pour Suarez, un vrai bijou de métissage musical !


Adeptes des territoires connus, passez votre route : Suarez vous promet des ballades qui sont autant de balades dans des contrées qui ont la saveur des grands espaces insaisissables et irréductibles à une série de photographies ou de clichés musicaux. Aux racines de vos dépaysements musicaux, vous trouverez souvent des émotions et des amitiés particulières. Dans le cas de Suarez, c'est effectivement un rendez-vous improvisé qui donne naissance à un nouveau continent musical.
Une terra incognita façonnée par la rencontre impromptue d'une world music venue de Madagascar et d'une culture pop-rock bien européenne, qui décident finalement d'emménager ensemble dans... la chanson française. Ensemble, ils mettront au monde une fratrie de chansons aux airs imparables, et légères comme la brume du matin qui annonce
le soleil. Des mélodies tendrement espiègles qui jouent sur des rythmiques positives dans un jardin d'un peu de tout, baigné d'une lumière délicate (musique malgache, pop anglaise, saudade capverdienne - impossible à ne pas ressentir -, musique noire-américaine).

Max (aux arrangements) et Pata (artisan des rythmes) Randriamanjava et leur cousin Dada Ravalison formaient le groupe N'java : trois Malgaches inspirés, vainqueurs d'un concours de world music et signés par une major pour ce qui devait être une belle aventure... qui ne durera finalement que le temps de trois tournées mondiales. C'est en Belgique, à Mons, qu'ils élisent domicile et achètent un studio. Un lieu de création que ne tardera pas à fréquenter l'autochtone Marc Pinilla, un étudiant lancé sur des rails pop-rock, devenu depuis un des mélodistes et, surtout, la voix si précieuse de Suarez. Une voix de coton des nuages, eux qui tantôt s'évaporent au soleil et tantôt sèment la pluie. Légère, voluptueuse, enjouée, susurrée, bien élevée, souriante, séduisante. Du Art Mengo avec moins de rocaille, du Thomas Dutronc avec moins de nonchalance et plus de sourire.

Ensemble, ils ont orchestré le mélange de leurs cultures, de leurs bagages, de leurs discothèques, pour finalement aborder... la chanson française. Le deuxième titre de l'album, cover partielle de La Vie en Rose, en atteste. Et si, sur ce morceau, on retrouve un peu de l'esprit de Kaolin (Partons vite), on y apprécie surtout ce velours, cette souplesse exaltante que revêtent toutes les réalisations de Suarez. Un décor ciselé avec douceur et précaution, qui semble s'épanouir à mesure qu'on l'écoute, comme une plante croissant au soleil de la musique du groupe. L'environnement idéal pour une prose élaborée, précieuse (entendons-nous : délicate et élégante, pas du tout pédante) comme le filet d'eau limpide qui jaillit de la source, et glisse miraculeusement entre les roches.

Petit parcours initiatique dans cette réserve naturelle : après le single On attend, qui a trouvé sans tarder une bonne place sur les ondes, on a encore bien des découvertes à faire. Le Je mens, espièglerie à la Dutronc fils, avec sa pompe manouche, sa mélodie jazzy et son dim doum dam dam dey qui sourit aux anges ; le Aïe aïe aïe aussi sautillant que son titre, coup de foudre pas clinquant et trépidant sur lequel semblent s'être invités quelques mariachi sans trompettes ; le Besoin d'air, litanie exténuée digne des meilleurs Art Mengo ; La non demande en mariage qui a quelque chose du Everything de Michael Bublé ; le très rock Prends-moi ; des berceuses pour adultes telles que Feu d'abstinence ou L'Amant ; ou enfin La seule raison, digne du générique de la plus belle histoire d'amour...

Plongez sans plus attendre dans l'univers de Suarez en suivant le guide (avouez qu'on vous mâche le travail) :

- cliquez ici pour accéder à leur MySpace;

- cliquez ici pour découvrir tout l'album, en écoute sur Deezer ;

- cliquez ici pour accéder à leur page officielle Dailymotion, avec tout plein de prestations live ;

- cliquez ici pour la variante YouTube, avec une sympathique vidéo backstage de leur passage à Taratata.

Vous l'aurez compris, c'est un vrai coup de coeur. On n'espère qu'une chose : vous avoir donné envie de nous rejoindre dans ce jardin d'amour et de musique fraîche aux instrumentations luxuriantes et à la poésie grâcieuse...

Guillaume Joffroy


(source)

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Personnellement, je ne suis pas fan de cet article, je trouve qu'il y a beaucoup (beaucoup) trop de comparaisons... d'étiquettes collées... Suarez, c'est Suarez...! Et puis quelques expressions utilisées qui me font bien rire! tant de mots pour dire quelque chose... Enfin, c'ets un avis personnel, je me suis bien divertie avec maman en le lisant! Mais ça fait quand même plaisir d'avoir de plus en plus de nouveau sur eux!

Article de La Province


Après Taratata, Suarez aux FUCaM
n.c.
Samedi 2 mai 2009

Mons concert émotion

Marc P., le leader du groupe montois, de retour à “ son ” unif


Les concerts, le groupe Suarez connaît! Depuis deux ans, ils parcourent les scènes belges et françaises grâce à leur album “ On attend ”, et le succès est au rendez-vous. Mais samedi soir, leur prestation sur le campus de la FUCaM avait un petit goût particulier, spécialement pour Marc Pinilla, le chanteur. Pas d’incroyable foule ni de salle imposante pourtant, mais plutôt des souvenirs et une ambiance retrouvée.

“ J’ai suivi les cours ici pendant cinq ans. J’ai vécu des choses sympas ici, mais dans ma tête j’étais déjà ailleurs ”, nous a-t-il expliqué. En effet, Marc est diplômé en sciences de gestion. Le concert de ce week-end faisait donc office de retour aux sources pour le leader charismatique d’un groupe flanqué de l’étiquette “ révélation belge de l’année ” et qui, suprême consécration, s’est récemment fait inviter par Nagui lors de sa célèbre émission Taratata

“ Mais je vous avoue que je n’étais pas fan des études, j’ai eu la chance de pouvoir en faire et d’en avoir les capacités, alors j’ai fait ce que je devais faire et je suis parti. Mais ce qui rend le spectacle de ce soir exceptionnel ce n’est pas ça, c’est plutôt que le public est composé d’anciens professeurs à moi, d’anciens camarades de classe, des amis montois...C’est une ambiance particulière ”, nous a confié le chanteur quelques minutes avant d’entrer sur scène.

Profs et élèves

C’est donc devant une audience de 400 personnes que les Montois ont entamé leurs plus beaux morceaux. Pas besoin de se vendre ou de défendre leur musique ce week-end, le public était déjà conquis. Entre les professeurs, les anciens et nouveaux étudiants et les fans présents, tous n’avaient qu’un mot à la bouche: fierté! Et oui, ils étaient fiers tous ces gens d’avoir connu un jeune homme en passe de devenir célèbre, d’avoir partagé les bancs d’un artiste désormais médiatisé ou simplement de pouvoir étudier dans un endroit qui a vu évoluer le jeune musicien.

Mais quel rapport finalement entre la gestion et la musique?

“ J’étais déjà musicien quand je venais ici. Parfois je venais sur le campus avec ma guitare et d’ailleurs je participais aux animations culturelles. Maintenant, je suis heureux d’avoir fait ces études, parce que j’ai appris à gérer une entreprise, et justement, Suarez c’est une vraie entreprise! ”

Notons tout de même que si Marc s’est dit heureux d’être là, c’est avec la phrase “ j’ai quelques comptes à régler ici... ”, qu’il a choisi de débuter son spectacle. Une pointe d’ironie qui a fait sourire plus d’un prof dans la salle!

“ J’ai suivi les cours ici pendant cinq ans. Mais dans ma tête j’étais déjà ailleurs. ” DB

pour tes recherches Céline!

Concernant le même article, mais avec d'autres photos :
1*http://archives.sudpresse.be

2*http://archives.sudpresse.be/

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Aralunaires: le succès pour la première édition
n.c.

Lundi 4 mai 2009

ARLON festival
1 à 8. La première édition des Aralunaires fut une réussite. Le nouveau festival multiculturel arlonais s’est clôturé ce week-end avec deux journées intenses de concerts. Vendredi, pour The Subs, Arnaud Rebotini et surtout Dr. Lektroluv, plus de 900 personnes ont foulé le Hall Polyvalent qui a pris, pour l’occasion, des allures de dancefloor. Samedi, ils étaient plus de 400 pour applaudir Suarez, Mademoiselle K, BB Brunes ou encore Poni Hoax. S.Lambotte
Source avec quelques photos (pas top) : http://archives.sudpresse.be/


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Autre genre d'article...
http://archives.sudpresse.be/

“ Le chanteur du groupe est trop mignon ”n.c.

Samedi 2 mai 2009

Céline, Cécile et Michelle
Céline, Cécile et Michelle viennent de Hornu. Elles ont découvert Suarez en première partie du concert de Jenifer à Colfontaine. Depuis elles les suivent partout. “ Ils sont très disponibles, on a déjà fait une photo avec eux et eu des autographes. Ce qu’on aime c’est les paroles touchantes, et puis le chanteur qui est trop mignon. On est contente qu’ils soient venus ici à Mons, en plus on était au premier rang... ”

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Suarez revient aux FUCaM
© O.Delloye
n.c.

Vendredi 24 avril 2009

Mons Concert
Le chanteur du groupe montois est un ancien de l’université
“ On attend que le monde change, on attend, on espère... ”. Vous fredonnez Suarez, bien sûr.

“J’étais un ancien des FUCaM. Ils m’ont sollicité pour donner un concert au campus et j’ai accepté. C’est normal ” dit Marc Pinilla, chanteur et fondateur du groupe. “ Ils ne m’ont pas soudoyé ”.

Marc Pinilla est donc licencié en sciences économiques. Par vocation? “ À la base, ce n’est pas une conviction. Mais c’est un domaine qui touche à plein de choses. À la fin des études, on n’est encore rien et en même temps, on connaît plein de choses. Ça permet d’avoir une ouverture d’esprit. Et voilà! Je suis musicien. Ce sont peut-être les sciences éco qui m’ont permis de le faire ”. Parce qu’on apprend le solfège aux FUCaM? Non, c’est sûr. Mais Marc Pinilla a bien appris la musique. Et son premier instrument, c’était la flûte dont il a joué à l’académie de Musique de Quaregnon. Puis, il a acheté une guitare. Vachement plus sympa pour épater les filles que la flûte. Mais c’était toujours en amateur. La guitare, bien sûr.

“ Musicien professionnel, moi? Je n’y avais jamais pensé ”

Et puis, Marc Pinilla a eu cette chance, ce cadeau du destin, cette rencontre avec trois Malgaches du groupe de musique du monde. “ On s’est rencontré dans le coin. Ils habitent près des FUCaM. On travaille toujours ici tout près. Je me suis vraiment émancipé dans ce groupe ”. L’artiste sapera l’épisode de l’incompris qui rame avant de connaître le succès. Parce qu’entre les études et le succès, il a enseigné à Saint-Luc puis dans un centre de formation pour enseignants. “ J’aime bien les jeunes, la pédagogie. Je donne toujours des formations ”.

Mais le plein-temps, c’est pour la musique. Là, maintenant, le groupe est au Printemps de Bourges. “ Puis on rentre à Mons mais on ne se repose pas. On prépare le deuxième album ”. Dans la même veine. “ On ne change pas les choses qui fonctionnent. Ça va être plus ou moins la même chose, peut-être en un peu plus triste, un peu plus profond.

Je pense que tout le monde est un peu triste. Mais on cache sa tristesse. Une tristesse par rapport à la vie, à nos choix, à la direction qu’on prend ”. Mais sûr qu’on ne sortira pas les mouchoirs à leur concert, mercredi soir aux FUCaM. “ On va jouer de la même façon, on va le présenter comme d’habitude. Et s’il y a des rappels, si c’est l’euphorie, on va y passer la nuit! ”

À NOTER Infos: www.fucam.ac.be

© O.Delloye
Source : http://archives.sudpresse.be/

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Et une petite dernière pour la route... m'a bien fait rire en tous cas!


“ Il y a un aspect sentimental ”


“ C’est tout à fait logique que Marc revienne aux FUCaM. E.G.
n.c.
Vendredi 24 avril 2009
ENTRETIEN: François Fasseaux Négociant en vins à Mons À PROPOS DE son amitié avec Marc

Vous avez fait vos études aux FUCaM avec Marc Pinilla. Vous l’avez revu depuis?

J’ai un peu perdu le contact. Mais on s’est revu plus tard, dans le cadre de son boulot de formateur.

Vous saviez qu’il était le fondateur du groupe Suarez?

Oui, je le savais. Je trouve qu’il a fait une belle rencontre avec les Malgaches.

Vous aimez sa musique?

Beaucoup. Je trouve qu’on ne trouve pas son style à tous les coins de rue.

C’est votre style?

Je suis assez ouvert à toutes les musiques. Ça va des musiques plus soft à la pop. Je n’ai pas un genre de musique bien précis.

Comment définiriez-vous Marc? Son caractère?

Je dirais que c’est un gars très sympa, mais qui ne se livre pas facilement. Très sympa, qui ne se prend pas la tête non plus.

Pour lui, “ tout le monde est un peu triste. Mais on cache sa tristesse... ”

Triste? Cela ne m’avait pas vraiment marqué. Mais c’est vrai qu’il a dit ça lors d’une interview et ça m’a permis de mieux comprendre sa personnalité. Alors qu’a priori, je n’aurais pas dit ça de lui. C’est vrai qu’il y a des jours où l’on est boosté, on a l’impression d’être nickel, tout bon dans sa profession. Et le lendemain, il y a un petit truc pas comme il faut et on se demande ce que l’on est. Je peux donc comprendre ce que dit Marc.

Qu’est-ce que cela vous fait quand vous l’entendez chanter?

Ça fait drôle. C’est une sensation assez particulière quand c’est quelqu’un qu’on connaît. La première chanson qui m’a marqué, c’est celle qu’on entend tout le temps. “ Aïe Aïe Aïe ”.

Vous irez à son concert le 29?

Oui. Justement, on en a parlé avec des amis, ce week-end.

Ce sera un concert comme les autres?

Je suppose que ce ne sera pas comme dans une salle où il ne connaît personne. Ici, c’est aussi pour se rappeler de bons souvenirs, marquer le coup. Il y a un aspect sentimental.

“ C’est tout à fait logique que Marc revienne aux FUCaM. E.G.

Source: http://archives.sudpresse.be

Un article différent et intéressant

http://www.terreencommun.be/mag_people5.php

Waouw pour la recherhce! j'adore cette interview "verte" !
en effet ça change, mais c'est pas plus mal! et puis ça devait être chouette pour lui de changer de question, genre "comment vous êtes-vous rencontré?"

Petit magasine qui parle du concert à Soignies aevc Louis Bertignac...

http://www.centre-culturel-soignies.be/

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Pour les Fan de la recherche (car pour l'instant j'ai plus trop le temps avec l'école), y a une interview donnée par Marc à Dour avant le concert de Dour le 1.05.09, et dans les émissions Télé: La Dictée du Balfroid 9 mai 2009 où Marc a assisté en Direct sur RTBF accompagné de Stéphanie Crayencour... et apparemment un article aussi à Dour mais qui daterait du Pere Noele est un Rockeur (20.12.08)... Ami(e)s Sherlock's... à vos loupes...

Coup d'envoi du Doudou.
Article trouvé sur le site de La Province : ici

Suarez a donné le coup d'envoi de la ducasse

Vendredi soir, la Canadienne Natasha Saint-Pier et les Montois du groupe Suarez ont allumé comme il se doit ce Doudou 2009. La Grand-Place était comble et le temps superbe. Découvrez toutes les photos de ce double concert dans notre galerie photos.
Marie Godfroid



Le groupe montois a conquis la Grand-place. Eric Ghislain

C'était au temps où Mons doudoutait... Le refrain aurait pu être de mise ce vendredi au cœur de Mons, sur la Grand-Place, aux alentours de 22h. Une foule compacte et motivée, qui attendait (depuis des heures, pour certains!) des chopes en tous sens et de la musique virevoltant dans les airs pour afficher, sur les mines de fin de semaine, de la bonne humeur.

Doudou à la guitare

Avec une demi-heure de retard, la soirée proposée par Sud Radio a débuté avec la joyeuse troupe de Suarez. Les trois Malgaches emmenés par le jeune Montois Marc Pinilla ont véritablement placé l'ambiance. Des chansons fraîches comme un début de Doudou, une sympathie propre à la région et surtout un au revoir percutant: le refrain du cher et tendre Doudou à la guitare. Inutile de préciser que la foule était en transe!

Après un intermède d'extraits radiophoniques, place à la “ star ” de la soirée, la Canadienne Natasha Saint-Pier. Pantalon noir et petit gilet argenté, les cheveux au vent, elle est arrivée haut perchée sur ses talons, saluant la foule en chantant.

Un public de fans

Reprenant la plupart de ses tubes, que le public connaissait apparemment très bien, elle a offert un concert d'un peu plus d'une heure, plein d'énergie et de convivialité canadienne. Moins chaleureuse néanmoins que le quatuor montois, la prestation de Natasha a toutefois permis aux centaines de personnes présentes de passer un agréable moment et d'entamer cette cuvée “ doudoutique ” 2009 la joie au cœur. On est montois ou on n'l'est nié, hein!

À NOTER Cliquez sur “nos galeries

photos ” pour découvrir le Doudou

2009 en images, réalisées par Eric

Ghislain.

Un veille article, mais je ne pense pas que je l'ai déjà poster par ici...



LIEN pour l'article

Suarez a mis le public béthunois dans sa Poche
lundi 08.03.2010, 05:02 - La Voix du Nord



Les quatre musiciens ont su faire chanter et danser le public béthunois dans l'intimité du Poche. | CONCERT |
Le Poche, c'est la salle idéale pour accueillir des musiciens talentueux et originaux. « ce vendredi 5 mars, c'est Suarez qui a fait danser les Béthunois.

En première partie, Naosol and the Waxx Blend, groupe découvert sur internet, a retenu l'attention du public avec sa musique folk issue de l'album 1968 et notamment avec sa très réussie reprise de Clint Eastwood, le tube de Gorillaz.
Encore peu connus en France, les Suarez sont de vraies stars en Belgique, leur pays d'origine. Le groupe est né d'une rencontre, dans un studio de Mons, de Marc Pinilla, un Belge adepte de la pop anglaise, et de trois Malgaches musiciens de World Music. Max et Pata Randriamanjava, et leur cousin Dada Ravalison sont arrivés en Belgique en provenance de Madagascar grâce à un concours de musique qu'ils ont gagné.
Ils choisissent la chanson française, qui se mélange à toutes leurs influences, pour donner le son unique de Suarez.
Chez nous, les quatre amis commencent à percer avec leur titre On attend qui passe en boucle sur les ondes. C'est d'ailleurs ce morceau que la majorité du public attendait. Ils leur en ont livré une version joyeuse et dansante qui a mis la salle en émoi. Et les autres morceaux de l'album sont loin d'avoir déçu les spectateurs. Prends-moi, Aïe aïe aïe, des titres plein d'énergie et d'humour servis avec charisme et bonne humeur par Marc Pinilla, leader visiblement très à l'aise sur scène.
Le quatuor excelle aussi dans les détournements de grands classiques comme celle de La non demande en mariage de Brassens ou la réadaptation de La vie en rose d'Edith Piaf.
Le concert s'est terminé avec la reprise de Couleur café de Serge Gainsbourg. Le public, ne tenant plus, s'est levé pour danser et chanter. La complicité entre le groupe et ses spectateurs était palpable et renforcée par le côté intimiste de la salle. Le public aime Suarez et le groupe lui rend bien. « Béthune, c'est un public de folie ! », s'écrie Marc Pinilla, interrogé dans les coulisses à la fin du concert.
Les malchanceux qui ont manqué ce concert devront attendre encore un peu car Suarez ne reviendra dans la région que pour sa prochaine tournée. Ils seront néanmoins à la Cigale de Paris le 5 juin
... t PAULINE LESNIEWSKI (CLP)

(source)

Les leaders montois: voici les résultats
publié le 27/03/2010 à 22h42

Fin des votes. Depuis lundi, vous avez élu vos personnalités, à Mons, qui font bouger la région grâce à leur activité ou leur talent. Voici les résultats...


Les résultats sont:

1. Nicola Capone, 23%
2. Marie Vanderelst, 23%
3. Martine Dufrasne, 19%
4. Laurent Renard, 11%
5. Daphné Cornez, 10%
6. Suarez, 6%
7. Saule, 5%
8. Michel Mazzolini, 5%
9. Yves Vasseur, 2%
10. Christophe Caucheteur, 1%


(Source)

Un article trouvé sur le site de La Province pour le concert du 25 juin à Mons : http://www.laprovince.be/regions/mons/2010-06-26/mons-des-feux-tres-colores-avec-suarez-792091.shtml

MONS : Des feux très colorés avec Suarez

Incontestablement, Suarez a mis le feu sur la place Nervienne à Mons, vendredi soir, lors des festivités organisées dans le cadre des Feux de la Saint-Jean et qui se prolongent ce samedi soir. Plusieurs groupes se sont succédé sur la scène devant une place remplie.

Suarez a à nouveau recueilli un joli succès, vendredi. (E.G.)



Rédaction en ligne

Les examens terminés, l’heure était à la détente et à la danse pour certains jeunes parmi un public très familial, vendredi soir sur la place Nervinne. De manière tout à fait improvisée, un hommage à Michael Jackson a été rendu par un jeune garçon qui est monté sur la scène entre deux concerts.

Parmi les groupes invités, on retiendra Skarbone 14 dans un style ska rock festif, de même qu’Orféo qui compte déjà 200 concerts à son actif dont Dour et les Francofolies.

http://www.bestofverviers.be/index.php?option=com_content&view=article&id=921%3Adropn-rock-festival-2010

Premier album de Suarez : On attend
Par Julia Haurio | 11. janvier 2010 | Catégorie : Critique de CD, Musique | Aucun commentaire »

Avec un rendu acoustique et des mélodies légères, le quartet belge Suarez a réussi à affirmer son propre style sur On attend, premier album sorti en mars 2009. Ils apportent ainsi un vent de fraîcheur sur la scène de la chanson française.

Les quatre musiciens de Suarez se sont rencontrés à Mons (Belgique) dans un studio d’enregistrement. Marc Pinilla, chanteur et guitariste donnait plutôt dans le registre du rock alors que Max et Pata Randriamanjava, et leur cousin Dada Ravalison, originaires de Madagascar jouaient de la world music au sein de leur groupe N’java. Ensemble, avec une rafraîchissante naïveté, ils explorent donc un style qui leur était inconnu : la chanson française.


On attend, fruit de cette découverte nous offre des pièces teintées de simplicité. La voix aérienne de Marc Pinilla peut rappeler celle du chanteur Laurent Voulzy. Les mélodies sont douces et accrocheuses comme celles qui restent dans la tête. Sur le titre Juste pour voir, la chanteuse et actrice belge Stéphanie Crayencour prête sa voix à Suarez et incarne la moitié de ce couple qui se hait mais qui veut quand même essayer une dernière fois.

Le groupe a aussi osé la reprise de titres de deux monuments de la chanson française : La vie en rose d’Édith Piaf et La non demande en mariage de Georges Brassens. Suarez a le mérite d’avoir totalement recomposé la rythmique dans les deux cas. Mais si pour la non demande en mariage, leur audace est une réussite, pour la vie en rose en revanche, l’air de guitare léger accompagne maladroitement le texte de Piaf.

Suarez prépare actuellement son deuxième album alors que le titre On attend fait partie du top franco de Musimax.

Lors de leur passage aux Francofolies de Montréal, deux des membres du groupe avaient accordé une entrevue à Touki Montréal, abordant le thème de la francophonie et leur rencontre.



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Une couverture, un chocolat chaud, la pluie qui tombe et la musique de Suarez

"On attend que le monde change, on attend que la vie nous range..." C'est avec cette douce ritournelle que Suarez est venu nous cueillir, il y a déjà quelques mois. Le single a effectivement été lancé en février dernier sur les ondes. Les aléas du monde du la musique nous ont forcés à attendre la suite et enfin, la voilà.

Suarez réchauffe le coeur
La période est idéale pour s'intéresser à Suarez si ce n'est pas encore fait. Le premier disque de ce groupe montois, baptisé On attend, est de ceux qui nous réchauffent le coeur et le corps lorsque le ciel est gris et que la pluie s'abat sur les pavés, dehors. La douceur dans la voix de Marc Pinilla, le chanteur, nous donne l'envie de nous enrouler dans une grosse couverture de laine, une tasse de chocolat chaud fumante entre les mains, les rythmes folk, répétitifs, simples, épurés, ensoleillés finissent de parfaire le tableau. On a beau chercher dans notre discothèque, on ne voit pas mieux pour le moment pour apaiser les esprits survoltés par une journée de travail harassante.

Un Belge et trois Malgaches
Remercions le hasard qui a amené Marc a croisé la route de ses trois compères, originaires de Madagascar. "J'ai rencontré Dada Ravalison, du groupe malgache N'java, dans un studio d'enregistrement à Mons, il y a six, sept ans." Marc a ensuite rencontré les deux autres membres du groupe. "Ils m'ont un jour proposé de jouer avec eux et de faire de la chanson française. J'ai accepté et ça a pris tout de suite, ça a directement fonctionné." Le chanteur a très vite laissé tomber la langue anglaise qu'il affectionnait particulièrement à l'époque, "parce que mes amis ne comprenaient pas ce que je racontais!" "Ecrire en français, c'était un exercice que je n'avais jamais fait et ça ne m'attirait pas plus que ça. Je trouvais l'anglais plus chantant à cette période de ma vie. Finalement, en fait, j'ai changé d'avis..."

De l'amusement et de la simplicité
L'impulsion de départ de la construction de ce premier disque a été "l'amusement. Tout est parti de la chanson Aïe Aïe Aïe. Quand on m'a demandé de chanter quelque chose en français, j'ai pris le premier mot qui m'est venu. Et c'était ça! Ca tient à très peu de choses, finalement...", sourit Marc. "Je parle dans cette chanson de mes expériences de mauvais dragueur. On est parti dans un délire de brainstorming pour le texte et ça a fonctionné aussi pour les autres chansons."

Suarez voit la vie en rose
Les titres tournent du coup principalement autour de l'expérience personnelle des quatre garçons. Sauf deux. Des reprises, et notamment celle de La vie en rose de Piaf. "On voulait faire une reprise et on voulait reprendre une femme pour éviter toute comparaison avec l'interprète originale. On a cherché et on est tombé sur Piaf. Au début, on se disait qu'on ne pouvait pas reprendre ça: c'est incopiable, intemporel... Finalement, on a posé le texte et on a tenté de retraduire notre sensation, de poser notre émotion. On a redécouvert cette chanson magnifique. Ca a été relativement simple d'en faire une chanson qui nous correspond. Je me suis retrouvé dans le texte, c'est une belle déclaration d'amour. Brassens est venu après Piaf. Le texte correspondait bien à l'univers déjà installé de l'album." Comprenez, "une musique accessible et compréhensible pour beaucoup de gens." "Ca ne sert à rien de compliquer les choses", explique Marc." Je veux dire, on peut le faire: je joue aussi en parallèle avec des musiciens qui sont d'excellents jazzmen, mais ce n'est pas la philosophie de Suarez. On a envie de s'exprimer de la manière la plus simple, la plus épurée, la plus sincère possible en fait."

"Il pleut dehors, on n'a rien d'autre à faire"
La démarche sera la même pour le deuxième album, sur lequel Suarez travaille déjà. "Il pleut dehors, on n'a rien d'autre à faire", rigole Marc. "L'hiver sera studieux. De toute façon, c'est quand il fait froid qu'on travaille le mieux. On voudrait aussi des chansons pour le live. Et puis dans la société actuelle de consommation, les gens passent vite à autre chose, à un autre album, donc je pense qu'on doit suivre le mouvement. Autant être là pour la suite..." Un raisonnement simple mais évident, très Suarez, finalement.

Dé.L.
30/09/08 17h49

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Suarez sème la vie(03/08/2010)

© Avpress
LE RœULX

Les bénéfices du nouveau single versés à Graine de Vie

MusicLive: le blog musique de la DH

ÉCOLOGIE Voici quelques mois, nous vous présentions une ONG pour le moins originale (La DH du 29 décembre 2009). Basée au Rœulx, l’ASBL Graine de Vie a pour objectif de récolter des fonds en vue de favoriser la plantation d’arbres à Madagascar et la formation de pépiniéristes afin de compenser l’empreinte écologique.

L’île est soumise à une déforestation intensive, malheureusement sans reboisement. Le premier projet de Graine de Vie, a permis la plantation de 100.000 arbres à Ambohitralanana. Les pépiniéristes sont rémunérés par l’ONG.

Les écoles et les autorités locales soutiennent le projet, de même que le groupe belgo-malgache Suarez, qui a accompagné l’ONG voici quelques mois. Pour parfaire ce soutien, Suarez vient d’annoncer que les bénéfices de son nouveau single Qu’est-ce que j’aime ça, seront cédés à l’asbl Graine de Vie.

Marc Pinilla, le chanteur belge et ses comparses Dada Ravalison, Pata Njava, Maximin Njava, tous originaires de Madagascar doivent sortir un nouvel album en octobre. Le single est déjà téléchargeable sur Itunes Store. Si vous téléchargez, vous plantez un arbre à Madagascar. L’objectif de l’ASBL Graine de Vie est la plantation de pas moins d’un million d’arbres…

EN SAVOIR PLUS

www.grainedevie.org

F. Sch.
© La Dernière Heure 2010